Session JA
Une cinquantaine de jeunes agriculteurs ont participé à la session nationale montagne de leur syndicat. Le point avec Bastien Chappet, co-responsable national.
Une cinquantaine de jeunes agriculteurs ont participé à la session nationale montagne de leur syndicat. Le point avec Bastien Chappet, co-responsable national.
Pour rester dans les normes, l’entreprise de découpe Troupéou basée à Mornans, doit investir dans une nouvelle installation de réfrigérants avant 2030.
Lors du Sommet de l’élevage, les responsables agricoles des Massifs français ont présenté leur livre blanc commun, document de référence sur le positionnement des massifs des Pyrénées, de la Corse, des Alpes, du Jura, des Vosges et du Massif central.
À la tête d’un troupeau ovin, Kévin Franquet a la particularité d’être installé sur une ferme communale à Dieulefit. La municipalité s’attache en effet à faire revenir l’agriculture et l’élevage sur ses terres.
La Fédération nationale des éleveurs de chèvres (Fnec) demande aux industriels "d’inscrire un prix du lait de chèvre à la hausse".
Lors de la journée Pois’Innov 2024 du 17 octobre, les visiteurs ont pu assister à onze ateliers techniques. Chacun présentait un programme de recherche ou un projet expérimental engagé au profit de la résilience des éleveurs laitiers de montagne et de piémont de tout l’est de la France.
La sériciculture rencontre quelques soubresauts dans le Gard, relancée par la demande en fil d’une poignée d’entreprises locales. La production est au rendez-vous mais insuffisante et les outils manquent pour structurer la filière.
L’Union des éleveurs livrant Lactalis (UNELL) se dit en mesure de proposer des alternatives de collecte laitière aux producteurs concernés par les ruptures de contrat du géant laitier. Un chantier d’envergure en plusieurs étapes.
La deuxième édition de Vaches en Piste, grand salon d’élevage laitier professionnel ouvert au grand public, se tiendra en mars prochain.
Le Gaec du Prayou élève des porcs charcutiers en bâtiment à Issamoulenc en Ardèche. Si le porc est un animal très familier, il est aussi très sensible au stress, témoignent les éleveurs.
Initialement réservé au sérotype 3, le fonds d’urgence de 75 M€ pour compenser les pertes dues à la fièvre catarrhale ovine (FCO) va être élargi au sérotype 8, a annoncé la ministre de l’Agriculture le 6 novembre.
Du 15 au 18 octobre, la France accueillait le Sommet mondial du Lait Paris 2024, organisé par la Fédération internationale du lait (FIL). Plus de 1 600 congressistes, représentants de plus de 60 pays, se sont réunis pour cet évènement placé sous le signe de la durabilité.
La prochaine victime collatérale de la guerre ouverte entre l'Union européenne et la Chine pourrait bien être la viande de porc.
Engie Green a lancé une expérimentation grandeur nature sur l’agrivoltaïsme à Laqueuille dans le Puy-de-Dôme en partenariat étroit avec l’Inrae. Les premiers résultats du démonstrateur Camélia, composé de haies solaires, ont été présentés à l’occasion du Sommet de l’élevage à Cournon.
Trois épizooties touchent actuellement le monde de l'élevage : la FCO-3, la FCO-8 et la MHE. GDS France publie chaque semaine une carte sur la propagation de la crise sanitaire.
A l’occasion du Conseil des ministres européens de l’Agriculture qui s’est tenu les 21 et 22 octobre à Luxembourg, la France et l’Espagne ont demandé que l’Union européenne (UE) travaille sur la politique vaccinale.
Un arrêté paru au Journal officiel le 13 octobre permet désormais aux animaux vaccinés de sortir des zones régulées (ZR) au titre de la fièvre catarrhale ovine de sérotype 3 (FCO-3) ou au titre de la maladie hémorragique épizootique (MHE).
Alors que la FCO-3 fait des ravages en Europe, un nouveau sérotype de la fièvre catarrhale ovine, le n° 12, a été détecté aux Pays-Bas. Des analyses sont en cours pour évaluer s’il s’est déjà propagé.
Depuis six générations, la famille Allabouvette exploite des terres à Pusignan dans le Rhône. En septembre dernier, les portes ouvertes qui ont attiré plus d’un millier de personnes ont été l’occasion d’inaugurer un nouveau bâtiment mis en service en mars 2024.
En France, de plus en plus de génisses et de jeunes bovins sont engraissés aux dépens de l’export.
Dans l’Allier, l’Ain et l’Isère, trois usines de trituration ont décidé de s’allier afin de produire des tourteaux locaux pour l’alimentation animale. Mais cet objectif de souveraineté alimentaire ne pourra se faire sans le développement des surfaces, notamment de soja et une solide contractualisation entre les coopératives, les producteurs de graines et les éleveurs.
L’association Arthen (association pour le retour des grands herbivores dans les espaces naturels) travaille sur l’introduction du bison d’Europe et des chevaux sauvages en France. Elle cherche 200 ha à 300 ha dans la Drôme pour y installer le Tarpan, un petit cheval polonais, descendant du cheval ancestral.
Les entreprises d’abattage-découpe subissent de plein fouet la baisse des abattages de bovins mais aussi de porcs. Lors de leur congrès, elles ont esquissé quelques pistes pour préserver leur activité.
Le maillage territorial en abattoirs de toutes tailles s’avère indispensable au maintien de l’élevage dans les massifs.
À Clansayes, petite commune de la région du Tricastin, Catherine Arnoux élève depuis deux ans un troupeau de 100 brebis corses. Pour améliorer ses conditions de travail et favoriser le bien-être de ses bêtes, elle a fait construire - au cours de l’été 2024 - un spacieux bâtiment en bois de près de 800 m2.
Leur premier courrier resté sans réponse depuis mars, ils sollicitent Annie Genevard, nouvelle ministre de l’Agriculture, pour mener une vaste opération de comptage
Construire un bâtiment d’élevage représente pour un éleveur une décision lourde de conséquences sur l’avenir, tant sur le plan financier que sur le travail au quotidien. Le Cniel (interprofession laitière) propose un pense-bête exhaustif, très détaillé pour se poser les bonnes questions avant de prendre la moindre décision.
Manuelle ou automatisée, la distribution des aliments aux animaux demande une réflexion approfondie et une étude guidée et encadrée par des conseillers neutres, pour une efficacité optimale.
Avec la production qui repart à la hausse, l’interprofession de l’œuf (CNPO) entend conserver ses parts de marché en France et à l’export, notamment en implantant 300 nouveaux poulaillers d’ici 2030.